Paradoxalement, à ses débuts en 1874, « La Fraternité » n’a pas le caractère d’une société de musique ou de chant.
Son objectif est essentiellement social.
Sous l’impulsion du vicaire Ceslas Schneider, son fondateur, différents cours sont donnés.
Ceux de solfège, de musique et de chants sont dispensés par Olivier Lebierre.